Des questions sur la préparation de vos recettes ? Toutes les réponses se trouvent ici. Tu ne trouves pas la réponse à ta question ? Viens la poser sur le groupe privé :)
Beaucoup de recettes végétales utilisent de la margarine ou du beurre vegan. Partisane d’une transformation minimale des ingrédients, je leur préfère des produits bruts ou nettement moins transformés.
De plus, les margarines contiennent généralement des graisses hydrogénées (converties en graisses saturées, et générant des acides gras trans) rendant le produit plus facile à transporter et à stocker. Une aubaine pour l’industrie agroalimentaire qui utilise ces graisses dans bon nombre de leurs produits. Nettement moins pour notre santé, les graisses modifiées par le procédé d’hydrogénation étant associées à un risque d’augmentation des troubles cardio-vasculaires.
Attention donc aux produits mentionnant sur leur étiquette « huile.s végétale.s hydrogénée.s » ou « partiellement hydrogénée.s ».
Attention donc aux produits mentionnant sur leur étiquette « huile.s végétale.s hydrogénée.s » ou « partiellement hydrogénée.s ».
Par contre, un beurre végétal de bonne qualité n’ayant pas subi ce processus, bio ou fait maison, pourra être une source de matières grasses potentiellement intéressante pour la conception de vos recettes. C’est une alternative envisageable à l’huile de coco ou aux purées de fruits à coque selon les recettes.
1 CS signifie une cuillère à soupe.
Une cuillère à soupe doseuse contient exactement 15ml.
Attention cependant, les cuillères à soupe que l’on a chez soi (les « grandes cuillères ») ne contiennent généralement que 8 à 10ml. Si vous n’avez pas de cuillère doseuse, préférez utiliser une balance électronique pour un dosage précis de vos ingrédients.
Voici quelques équivalences utiles CS/grammes :
Une cuillère à soupe doseuse contient exactement 15ml.
Attention cependant, les cuillères à soupe que l’on a chez soi (les « grandes cuillères ») ne contiennent généralement que 8 à 10ml. Si vous n’avez pas de cuillère doseuse, préférez utiliser une balance électronique pour un dosage précis de vos ingrédients.
Voici quelques équivalences utiles CS/grammes :
- Purée de fruits à coque : 1 CS = 17 à 20g
- Cacao en poudre, fécule : 1 CS = 8g
- Farine : 1 CS = 10g
- Sirop épais (dattes, mélasse, riz, miel) : 1 CS = 18 à 20g
- Sucrant en poudre (coco, erythritol, xylitol, etc…) : 1 CS = 12g
- Liquides fluides (eau, huile, sirop d’érable, arôme) : 1 CS = 15g
Les cups sont bien pratiques pour gagner du temps, mais pas indispensables (hormis si vous expérimentez beaucoup de recettes américaines).
Toutes les recettes que vous vous trouverez ici contiennent les correspondances de poids pour chacun des ingrédients listés, et la fiche "POIDS et MESURES - Les équivalences" passe en revue les équivalences les plus courantes.
Mais pour remplacer les cups, le bon vieux verre doseur traditionnel pourra parfaitement faire l’affaire ! On l’oublie parfois car il semble un peu désuet, mais lui aussi propose les équivalences les plus courantes.
Toutes les recettes que vous vous trouverez ici contiennent les correspondances de poids pour chacun des ingrédients listés, et la fiche "POIDS et MESURES - Les équivalences" passe en revue les équivalences les plus courantes.
Mais pour remplacer les cups, le bon vieux verre doseur traditionnel pourra parfaitement faire l’affaire ! On l’oublie parfois car il semble un peu désuet, mais lui aussi propose les équivalences les plus courantes.
1 cup = 250ml : Utilisez cette graduation comme repère sur votre verre doseur, et ajustez le niveau de vos ingrédients solides et liquides en fonction de la quantité indiquée par la recette que vous suivez.
On retrouve quasi-systématiquement une pincée de sel (ou plus) dans les listes d’ingrédients des recettes sucrées.
Cela peut paraître incongru aux yeux de certain.es, pourtant saler ses préparations sucrées est très pertinent!
Le sel est un exhausteur de goût. Cela signifie qu’il a le pouvoir de rehausser les saveurs des aliments, salés comme sucrés.
Ne vous inquiétez pas, ce dernier ne va pas saler vos gourmandises sucrées (à moins que vous ne le souhaitiez, notamment pour les recettes aux touches caramélisées), mais simplement leur apporter davantage de saveur.
Cela peut paraître incongru aux yeux de certain.es, pourtant saler ses préparations sucrées est très pertinent!
Le sel est un exhausteur de goût. Cela signifie qu’il a le pouvoir de rehausser les saveurs des aliments, salés comme sucrés.
Ne vous inquiétez pas, ce dernier ne va pas saler vos gourmandises sucrées (à moins que vous ne le souhaitiez, notamment pour les recettes aux touches caramélisées), mais simplement leur apporter davantage de saveur.
Ça, c’est une question qui revient très souvent. Pourquoi remplacer le sucre blanc dans les recettes? Est-il vraiment mauvais?
Alors évidemment, le sucre blanc ne sera certainement pas aussi nocif qu’une cuillerée d’arsenic ou de glyphosate, loin de là ! Mais effectivement, celui-ci n’est pas des plus intéressants pour notre organisme, et pour nos dents.
Tout d’abord, le sucre blanc (mais également les sucres roux et complets) sont constitués de saccharose, une molécule constituée à 50% de glucose et à 50% de fructose. Le sucre blanc est un produit raffiné, quasiment pur à 100% en saccharose. Celui-ci n’apporte absolument rien d’autre donc, que du pur glucose et fructose, celui-même que l’on retrouve sous forme de sirop dans bon nombre de produits industriels.
Alors finalement, consommé avec parcimonie, le sucre blanc n’est pas si néfaste qu’on peut parfois le croire. Du moins, pas plus que de nombreux autres sucrants (hors édulcorants naturels, métabolisés différemment).
C’est davantage une consommation générale de sucre qui sera potentiellement nocive, que le seul sucre blanc.
Cela dit, d’autres sucrants comme le sirop d’érable auront un profil micro-nutritionnel bien plus intéressant que le sucre blanc, apportant minéraux et antioxydants en quantités significatives. Et les édulcorants naturels comme la stevia, le xylitol et l’érythritol ne seront, eux, pas accompagnés des risques liés à la consommation de sucre (résistance à l’insuline, diabète, maladies cardio-vasculaires), offrant une valeur énergétique plus faible (voire nulle pour la stevia et l’erythritol) et étant métabolisés différemment par le corps.
C’est davantage une consommation générale de sucre qui sera potentiellement nocive, que le seul sucre blanc.
Cela dit, d’autres sucrants comme le sirop d’érable auront un profil micro-nutritionnel bien plus intéressant que le sucre blanc, apportant minéraux et antioxydants en quantités significatives. Et les édulcorants naturels comme la stevia, le xylitol et l’érythritol ne seront, eux, pas accompagnés des risques liés à la consommation de sucre (résistance à l’insuline, diabète, maladies cardio-vasculaires), offrant une valeur énergétique plus faible (voire nulle pour la stevia et l’erythritol) et étant métabolisés différemment par le corps.
Et autre avantage non négligeable : ils sont sans risque pour les dents (le xylitol peut même favoriser la reminéralisation de vos dents). Moins de calories et de caries, on dit oui !
Donc non, le sucre blanc n’est pas le diable incarné, mais il existe d’excellents substituts naturels qui lui seront bien plus avantageux.
J’en ai lancé par le passé, des cuissons sans même prendre le temps de faire préchauffer mon four… Et c'était rarement fameux !
Si pour les plats salés cela généralement n’a pas trop de conséquences, les pâtisseries elles, aiment beaucoup moins commencer à cuire dans un four froid. En effet, il faut un choc thermique pour que la levure qu’elles contiennent s’active, et pour permettre un certain nombre de réactions propres à chaque recette.
Alors on anticipe et on préchauffe son four à la température indiquée par la recette, 10 minutes avant d’enfourner.
Si pour les plats salés cela généralement n’a pas trop de conséquences, les pâtisseries elles, aiment beaucoup moins commencer à cuire dans un four froid. En effet, il faut un choc thermique pour que la levure qu’elles contiennent s’active, et pour permettre un certain nombre de réactions propres à chaque recette.
Alors on anticipe et on préchauffe son four à la température indiquée par la recette, 10 minutes avant d’enfourner.
Je dois avouer que qu’il y a toujours une petite part hasardeuse dans la confection de crème de coco fouettée. Parfois les matières grasses du lait de coco ne solidifient pas, et l’on s’en aperçoit seulement la boîte ouverte. Ou bien la crème ne monte pas malgré tous nos efforts.
- Tout d’abord, il est important de tester différentes marques en fonction de ce que vous avez à disposition dans vos commerces habituels, en choisissant toujours du lait ou de la crème en conserve (et non en brique). Souvent, ce sont les émulsifiants comme la gomme de guar qui posent problème, vérifiez la composition du produit que vous achetez.
- La teneur en matières grasses ne doit pas être réduite, puisque c’est justement cette partie grasse que vous allez utiliser. Une teneur entre minimum 18% et 22% est recherchée. La crème de coco, plus riche donnera souvent un meilleur résultat que le lait, mais ce dernier peut aussi très bien convenir (il est aussi plus facile à trouver).
- Mettez toujours une deuxième boîte au frais (tête en bas) au cas-où vous auriez une mauvaise surprise en ouvrant la première. Dans ce cas, vous aurez juste à conserver au frais ou au congélateur le lait que vous n’avez pas pu utiliser pour votre crème fouettée, pour l’incorporer à d’autres recettes ultérieurement.
- Placez le récipient dans lequel vous allez fouetter votre crème au frais, au moins 10 minutes avant de l’utiliser.
- Réfrigérez une nuit entière votre lait de coco (boîte tête en bas), sans quoi la crème ne sera pas suffisamment solide pour être travaillée.
- Utilisez un sucrant en poudre en non liquide, pour ne pas faire retomber votre crème fouettée. Le mieux est de passer votre sucrant au blender pour un effet sucre glace.
Et pour finir, ne « sur-fouettez » pas votre crème, au risque de la faire retomber!
- Utilisez un sucrant en poudre en non liquide, pour ne pas faire retomber votre crème fouettée. Le mieux est de passer votre sucrant au blender pour un effet sucre glace.
Et pour finir, ne « sur-fouettez » pas votre crème, au risque de la faire retomber!